Long-time participants
Au sujet du projet FeederWatchers original
En 2007, le projet FeederWatch célébrait son vingtième anniversaire : un jalon que nous ne pouvons attribuer qu’à l’engagement et au soutien de nos participants dévoués. En ce temps-là, 119 participants dénombraient les oiseaux pour le projet FeederWatch depuis le tout début en 1987. Nous leur avons écrit et demandé de raconter leurs histoires. Nous donnons la parole à quelques-uns de ces participants originaux dans cette section du site Web (cliquez sur les onglets à gauche pour découvrir chaque histoire); des citations d’encore plus de participants originaux figurent en dessous.
John White d’Excelsior Springs (Missouri) a écrit : « J’ai toujours eu hâte de participer au Projet FeederWatch. Je trouve que c’est très agréable et éducatif. C’est bien de savoir que j’ai contribué, au moins un petit peu, à offrir des données sur la population aviaire en hiver. »
Après avoir pris sa retraite et malheureusement perdu sa femme en juillet 2002, John s’est demandé ce qu’il aimerait vraiment faire. Sa réponse? « Obtenir mon diplôme! » Dans les années 50, il a fréquenté l’Université du Missouri pendant quatre ans; il s’est marié, a trouvé un travail et ne les a jamais terminées. En août 2007, il nous a écrit pour nous dire qu’il avait franchi le cap des deux semestres et d’un cours d’été… et qu’il était maintenant admissible à l’obtention d’un baccalauréat en sciences de la pêche et de la faune après son semestre d’automne… à 70 ans! Il a déclaré « La prochaine étape. C’est l’école supérieure et/ou la recherche! »
Jamie Wright de Memphis (Tennessee) a écrit : « J’aime voir et entendre les oiseaux. Sans eux, l’hiver est triste et ennuyeux. »
Melanie Miller de Hays (Kansas) a fait carrière dans les langues étrangères et la bibliothéconomie, mais déclare « À un moment, je voulais être ornithologue, et, plus tard, vétérinaire. » Le Projet FeederWatch permet « à celles et ceux d’entre nous qui n’ont pas assez de compétences d’y participer de manière professionnelle. »
En plus de ses vingt années en tant que citoyenne scientifique, Melanie détient deux diplômes d’études poussées, une accréditation en tant que spécialiste de la réhabilitation des oiseaux et elle est l’auteure de Birds: A Guide to the Literature : un ouvrage dont la recherche a été effectuée au Cornell Lab of Ornithology. Elle écrit : « Je vous donne tous ces détails en plus pour que vous compreniez combien cela signifie pour moi de participer au Projet FeederWatch depuis toutes ces années. » De toutes ses réalisations, elle déclare « Je crois que ma plus grande réussite, c’est mon certificat en Biologie aviaire obtenu après les magnifiques cours par correspondance du Cornell Lab of Ornithology! »
Barbara M. Souza de San Leandro (Californie) a écrit : « En réfléchissant au 20 dernières années, depuis que j’ai répondu à une annonce pour le Projet FeederWatch que mon mari avait trouvé dans un magazine, il y a eu énormément de changements dans notre région. Des changements que je ne remarquerai autrement pas. » Barbara a déclaré que sa participation au Projet FeederWatch avait été une excellente expérience d’apprentissage pour ses petits-enfants également. « Ils ont passé un excellent moment à aider leur grand-mère à compter les oiseaux! »
Judith Anderson Thistle de Rochester (Minnesota) aime aussi regarder les oiseaux avec ses petits-enfants : « Ces merveilleux petits-enfants, presque neuf ans, me rendent souvent visite pendant les weekends. Nos mangeoires sont installées sur des parterres d’herbe entourés de bois qui regorgent de glands et de framboises noires sauvages. Elles attirent les orioles de Baltimore, les dindes sauvages, ainsi que les autres créatures qu’ils n’ont pas l’habitude de voir en ville! » Judith a écrit : « FeederWatch – et notre merveilleux malamute de l’Alaska – a aidé à cette espèce non indigène à survivre à nos longs hivers du Minnesota. »
Carl Woodward, Jr., de Highland Park (New Jersey) a écrit : « Depuis deux ou trois ans, une énorme volée de rouges-gorges (au moins 100) se pose sur un houx adjacent à mon terrain. En une journée ils dévorent toutes les baies. Alors qu’ils s’affairent, ils ont soif et vident mes deux bains d’oiseau en un clin d’œil. Ce festin d’une journée se passe chaque année au début du mois de février. Les oiseaux sont comme fous! C’est très intéressant à regarder. »
Frances et Peter Mallet de Milton (Vermont) ont observé de nombreux changements au cours des ans. « Nous avons commencé il y a 20 ans. Les gros-becs errants consommaient 25 kg de graines de tournesol par semaine! Maintenant, cela fait plusieurs années que nous n’en avons pas vu un seul. »
Dorothy Roes de Menahga (Minnesota) a également remarqué le déclin des gros-becs errants. Elle écrit : « La seule chose qui me manque vraiment, c’est de voir les gros-becs errants. Lorsque j’ai commencé, il y en avait plus de trente dans les mangeoires… mais ça fait au moins quatre ans que je n’en ai pas vu un. »
Jane Haviland de Brunswick (Maine) écrit à propos de son moment FeederWatch le plus mémorable, qui s’est déroulé pendant une tempête de glace en 1998 : « En mettant le pied dehors sur la terrasse, une volée de mésanges s’est posée sur mes épaules, mes bras, et des sittelles se sont posées sur ma tête. Cette année-là, avant la tempête, j’ai rapporté un pic de 15 mésanges pour mon dénombrement FeederWatch, mais ce matin-là, il y en avait de 30 à 50 sur moi! »
Ann Plaisted de Ramsey (New Jersey) a commencé à observer et nourrir les oiseaux avec sa famille à la fin de la quarantaine, après avoir eu la chance de rencontrer la « Dame aux oiseaux de Tenafly (New Jersey), Betty Carnes » qui est ensuite devenue la première femme président d’Audubon. Ann déclare que « Il me semble impossible que le Projet FeederWatch en soit déjà à sa vingtième année! (ou que je suis 20 ans plus jeune)! » La passion de la famille, a été transmise à ses grands-parents, dans l’État de New-York. Elle déclare maintenant : « Il y a maintenant deux générations plus jeunes qui s’y intéressent. C’est un excellent loisir pour tous les âges! »
M.W. Lewis, III de Louisville (Kentucky) a écrit : « Je suivais des cours d’été à la Cornell lorsqu’a démarré le Projet FeederWatch et j’ai aimé ça depuis. J’ai toujours aimé les oiseaux et FeederWatch ajoute tellement aux mois d’automne et d’hiver! »
John White
John White d’Excelsior Springs (Missouri) a écrit : « J’ai toujours eu hâte de participer au Projet FeederWatch. Je trouve que c’est très agréable et éducatif. C’est bien de savoir que j’ai contribué, au moins un petit peu, à offrir des données sur la population aviaire en hiver. »
Après avoir pris sa retraite et malheureusement perdu sa femme en juillet 2002, John s’est demandé ce qu’il aimerait vraiment faire. Sa réponse? « Obtenir mon diplôme! » Dans les années 50, il a fréquenté l’Université du Missouri pendant quatre ans; il s’est marié, a trouvé un travail et ne les a jamais terminées. En août 2007, il nous a écrit pour nous dire qu’il avait franchi le cap des deux semestres et d’un cours d’été… et qu’il était maintenant admissible à l’obtention d’un baccalauréat en sciences de la pêche et de la faune après son semestre d’automne… à 70 ans! Il a déclaré « La prochaine étape. C’est l’école supérieure et/ou la recherche! »
Melanie Miller
Melanie Miller de Hays (Kansas) a fait carrière dans les langues étrangères et la bibliothéconomie, mais déclare « À un moment, je voulais être ornithologue, et, plus tard, vétérinaire. » Le Projet FeederWatch permet « à celles et ceux d’entre nous qui n’ont pas assez de compétences d’y participer de manière professionnelle. »
En plus de ses vingt années en tant que citoyenne scientifique, Melanie détient deux diplômes d’études poussées, une accréditation en tant que spécialiste de la réhabilitation des oiseaux et elle est l’auteure de Birds: A Guide to the Literature : un ouvrage dont la recherche a été effectuée au Cornell Lab of Ornithology. Elle écrit : « Je vous donne tous ces détails en plus pour que vous compreniez combien cela signifie pour moi de participer au Projet FeederWatch depuis toutes ces années. » De toutes ses réalisations, elle déclare « Je crois que ma plus grande réussite, c’est mon certificat en Biologie aviaire obtenu après les magnifiques cours par correspondance du Cornell Lab of Ornithology! »